Un coup de foudre littéraire.
Aux origines
Une écriture efficace et acérée
Ce que cette série m’a apportée
Du rêve. Oh, pas lorsque je lisais les épreuves difficiles que traversait le protagoniste bien entendu, mais plutôt l’envie de parcourir les paysages et les contrées naissant sous la plume de Michel Robert. Ça m’a fait un peu le même effet que lorsque je lis Le Seigneur des Anneaux. J’ai envie d’y être !
Et puis il y a les personnages. Des caractères forgés au gré des aléas (plus des bas que des hauts) de la vie. Terriblement charismatiques mais peu fréquentables, il faut l’avouer. Je ne suis pas du genre à tomber amoureuse de personnages fictifs. Mais là… J’aimerais bien avoir Cellendhyll comme maître d’armes !
Parce que c’est ça pour moi, l’immense point fort de la série L’Agent des Ombres. Tout y est si visuel qu’imaginer les combats est très facile. Et c’est un véritable spectacle pour l’esprit. Et pour ceux qui aiment les duels et autres affrontements à l’épée, la dague ou le coutelas…
Assister aux épreuves de Cellendhyll et le voir les surmonter envers et contre tout et surtout être témoin de la force avec laquelle il le fait donne du courage. Et à côté de ses « légers » soucis, ceux qui peuvent arriver dans notre vie de tous les jours, semblent bien petits. Certes, l’héroïsme des protagonistes est un peu exagéré, mais leur charisme et leurs aventures palpitantes font clairement passer outre cela !
La série se divise en deux saisons. Ma préférée est la première, bien que la seconde ouvre sur de nouvelles possibilités. J’aimais quand Cellendhyll possédait un but, une arme qui lui dictait la voie à suivre. Je me suis sentie un peu perdue à l’orée de la deuxième saison. Mais qu’à cela ne tienne, la qualité du récit m’a donné hâte d’en savoir toujours plus !
L’univers de Michel Robert est une source inépuisable d’inspiration. Pour des textes, mais aussi du jeu de rôle ! D’ailleurs… j’ai hâte de tester celui qui est en cours de préparation ! Que voulez-vous. Quand un univers est aussi riche et bien construit que celui-ci, je ne peux qu’adhérer !