Auteur/autrice : Aranae
De mes habitudes de lecture
C’est drôle quand on j’y pense. Je lis différemment selon ma lecture. Et je ne parle pas ici du genre littéraire qui m’occupe ni de l’histoire. Quoi que.
Non. Ici, je parle bien de mon comportement face à la lecture. En bref :
Mon comportement change selon le format du livre que j’ai entre mes mains.
Les grands formats
Les livres de poche
Ceux-là m’accompagnent partout : dans les transports en commun, en voyage ou dans les lieux où l’attente pourra être longue. Karadoc avait toujours un saucisson dans sa botte, moi j’ai toujours un livre de poche sur moi. C’est comme ça, on ne sait jamais quand on sera obligé d’attendre, alors mieux vaut être prêt !
Mes livres au format poche ont beaucoup plus vécu que mes grands formats ou les beaux livres. Je les promène partout. La pellicule de leur couverture peut s’en aller, ses coins sont un peu abîmés, les pages sont jaunies… C’est vrai que je les vois comme des objets à la manipulation un peu moins précautionneuse que les grands formats. A tel point que j’achète parfois un livre en poche que je possède déjà pour le lire lorsque je ne suis pas chez moi et/ou que le format normal est trop compliqué à emporter.
Attention : cela ne signifie pas que je les maltraite pour autant ! Je ne corne pas les pages, je ne plie pas volontairement la couverture. Simplement, ils sont posés dans mon sac comme ça tandis que les livres en grand format sont protégés par un petit sac de tissu. C’est tout. Quand je vois disais que je n’avais pas le même comportement selon le format du livre !
Concernant ma lecture de ce titre, elle est sensiblement la même que pour les grands format. Si l’histoire est addictive ou qu’il s’agit d’un auteur que j’adore, j’ai toujours ÉNORMÉMENT de plaisir à retrouver ma lecture !
Les Beaux livres
Alors ceux-là ne sortent pas de la maison. J’ai remarqué que j’avais besoin d’un contexte bien particulier pour lire ce genre d’ouvrage. Il me faut un moment calme, où je n’ai rien d’autre à faire et durant lequel personne ne vient me déranger.
Ma lecture doit être un moment presque hors du temps pour que je puisse pleinement apprécier le côté pictural et textuel du beau livre en question.
Et les ebooks ?
Pour la lecture numérique, j’ai mes périodes. Je peux aisément passer plusieurs semaines sans toucher à ma liseuse. Il faut dire que la mise en page est un peu aléatoire selon les titres que je lis sur ma liseuse. Et simplement que je n’ai pas encore acquis l’automatisme. Et aussi que j’adore flâner en librairie ou en bouquinerie pour acheter mes livres plutôt que de commander des fichiers sur Internet.
Mais cela ne m’empêche pas de dévorer quelques ebooks de temps en temps sans pouvoir m’en détacher !
#En Bref
Une chose est claire, quel que soit le type de livre lu, j’ai BEAUCOUP de mal à prêter mes livres. Il faut que ma confiance en l’emprunteur soit grande et que je sois sûre de le retrouver en excellent état.
La Maison des mages
Qu’en ai-je pensé ?
#En Bref
Le Mnémenol
Plongeons ensemble dans Le Mnémenol.
#En Bref
Chrono-critique : Breeks #1
Mais cette revue vaut-elle le coup ?
#Le mot de la fin
Mais je persiste, le format n’est vraiment pas génial. Original certes, mais pas du tout pratique.
Le Grand livre des esprits de la maison
#En Bref
Qu’il est bon d’être mauvais
Chants de totems
Chants de totems est un recueil de 13 nouvelles de très bonne qualité mais proposant des univers au final très différents et originaux. En un mot : les auteurs ne se contentent pas du far-west du XIXe siècle mais envisagent de nombreux arcs narratifs et géographiques. Pour notre plus grand plaisir.
Les auteurs n’hésitent donc pas à sortir des sentiers battus. Ils offrent des visions très intéressantes de la culture, des mythes et des croyances amérindiennes. La plupart donnent envie de s’y intéresser plus avant. Un exemple ? La nouvelle « Le dernier ours d’arctique » de Vanessa Terral. L’histoire fourmille d’informations et de pistes parfaites pour démarrer des recherches sur le sujet. Aucun auteur n’a pris ce sujet à la légère et traitent avec respect de cette culture millénaire. Ils connaissent leur sujet, ça se voit et ça fait plaisir à lire.
Le recueil est bien construit. La longueur des nouvelles varie et on navigue entre les univers sans vraiment s’en rendre compte. Un peu comme si on écoutait un conteur qui nous emporte dans un univers, puis dans un autre… bref, un plaisir.
The chosen one
#En Bref
Parce que parfois les mots nous manquent…
[Interview] Marianne Stern
Image prise sur le site du Chat Noir |
1 – Votre entourage vous inspire-t-il lorsque vous écrivez ?