Mille Saisons, la collection interactive des littératures de l’Imaginaire, vous propose de découvrir sa nouvelle anthologie à réalités augmentées, Tombé les voiles.
Le participe a tombé l’infinitif ! C’est la règle du jeu de la langue française, même si celle-ci a fait et fera tomber auteurs et lecteurs dans des abîmes de perplexité. Maintenant que le voile est levé sur cette bizarrerie syntaxique…
PLACE À LA LECTURE !
#Comment ce livre m’est-il tombé entre les mains ?
#Voyages à travers les imaginaires
Quelques mots de rappel sur le principe de ce recueil de nouvelles. Vingt auteurs, vingt illustrateurs et vingt musiciens se disputent la première place du palmarès. Un trio sera en effet récompensé par les lecteurs de ces nouvelles qui seront amenés à voter sur le site internet de la maison d’édition. Eh oui, Tombé les voiles est un recueil de nouvelles augmentées. C’est peut-être ça, l’évolution ! Chaque livre possède un code où aller effectuer son petit vote.
La coquille du titre est en fait une astuce permettant d’ouvrir de très nombreuses possibilités d’écriture dont la seule limite serait celle que se fixent les auteurs. Tristesse, humour, lyrisme, poésie ou prose dédiée à la réflexion, de nombreux styles de textes se mélangent pour former cet ensemble hétéroclite dans lequel il me semble difficile de ne pas trouver son bonheur.
Et non content de nous proposer des textes de genres différents, Tombé les voiles nous entraîne dans une myriade d’univers possédant leurs propres codes et leur propre beauté. Bien entendu, toutes ne sont pas à mes yeux de qualité égale. Mais toutes fouillent un aspect inédit de la thématique imposée. Cette diversité fait vraiment du bien à lire !
Je me suis réellement passionnée par certaines nouvelles, un peu moins par d’autres. Néanmoins, ce genre de livre peut tout à fait ouvrir la voie à des auteurs de talent, même si celui-ci est encore un peu hésitant par moments. Parmi celles-ci, quelques unes ont attiré mon attention, dont Macchabée blues dont l’écriture précise et sans compromis et l’humour pince-sans-rire ont su me faire passer un très bon moment.
#The best of the best : Où se perdent les vents »
Alors pour ceux qui auraient lu ce recueil, c’est par là pour voter !