Very good lives

L’auteur a été invitée à prononcer le fameux discours de remise des diplômes aux étudiants de Harvard en 2008. J.K.Rowling a transformé ce rite de passage d’ordinaire convenu en une leçon de vie.

L’auteur révèle ici les bienfaits insoupçonnés de l’échec et l’importance de l’imagination.

 #Comment ce livre m’est-il tombé entre les mains ?
J’ai découvert Very good lives totalement par hasard, sur mon fil d’actualité Twitter. Je me suis aperçue que ce texte de J K Rowling correspond totalement à ce que je recherche question lectures inspirantes. Je n’ai donc pas vraiment hésité avant de me le procurer.
 

#Besoin d’inspiration et de positif ?

Very good lives est la transcription du discours prononcé par J.K. Rowling en 2008 à l’université d’Harvard adressé aux étudiants. Elle a pour mission d’inspirer et de leur fournir des pistes de réflexion sur leur manière d’appréhender l’avenir. En tout cas, c’est de cette manière dont j’interprète la teneur de son discours.

Plein de pragmatisme et de perspicacité, l’auteur démonte plusieurs « mythes » devenus romanesques tant ils sont idéalisés : précarité, solitude… Elle qui les a vécus les récuse totalement pour rétablir une vérité plus terre à terre.

Et si elle ne dévalorise pas l’échec en tant que tel, c’est pour mettre en avant ses bienfaits en matière de remise en question et de résilience. Et inciter à aller de l’avant malgré les échecs que l’on peut rencontrer. Il faut dire que madame Rowling est sans doute l’une des personnes les mieux placées pour évoquer ces sujets, quand on connaît son parcours pour le moins difficile.

 

Viens ensuite l’éloge de l’imagination et de son importance. C’est elle qui nous fait oser et parfois réussir de grandes choses. Elle nous invite à la cultiver par tous les moyens : curiosité, lecture… Tout est bon pourvu qu’elle se développe !

Car après tout… « We do not need magic to change the world, we carry all the power we need inside ourselves already: we have the power to imagine better. »

 
 

#En bref

 
Very good lives est un roman qui est plus grand à l’intérieur : il fait moins de 100 pages, mais sait bouleverser le lecteur, le faire réfléchir et lui donner envie d’imaginer et de rebondir sur nos échecs.

 

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